lundi, novembre 29, 2004

Et puis il y a Frida qui est belle comme un soleil

Et qui m'aime pareil que moi j'aime Frida...

Bon, c'est du brel, hein, facile.

Allez, fleme, je coipie colle mes mails, même si j'ai écrit des trucs bien sympas, qui se devront de rester intimes.
Là, je viens d'avoir les clés de mon premier appart un 26 m carrés pour 260 euros charges comprises. Ça c'est la bonne nouvelle du studio, la moins bonne c'est que je dois installer l'eau et l'electricité a mon nom et tout le gna gna. Enfin, je suis content, il est vraiment très moche.

Je parle en direct du centre culturel qui fait cybercaca, j'avais plein de choses à y voir, mais j'ai tout oublié je vais devoir reprendre rendez vous.

Oh oui, je n'ai plus trop de sous, ça va probablement pas être franchement évident en attendant que le cnasea me paye pour la formation.
C'est génial, en tout cas, une super ambiance, on est un peu tous sur la même longueur d'onde, les cours sont parfois ardus, mais on fait plein de petits films, plus ridicules les uns que les autres.

Et puis, donc, on fait la fête deux, trois fois la semaine, à quatre, six, huit, nous nous eclatons comme des gamins.

Eh puis, Hey ! Je suis le délégué de clae ! Une tache pleine de responsabilités pour laquelle j'ai été élu en majorité, voir plébicité un peu comme Nicolas Sarkozy président de l'UMP.

Tiens, je ne dois pas oublié de parler de la version québécoise de Tout le monde en parle, présentée par Guy A.Lepage, dont j'ai entendu parler dans l'emission de ce samedi. Ardisson en avait l'air plutôt fier, comme quoi, il les aime bien, les cousins québécois.

Exclue Blog : J'ai révé que je participais aux dernières évaluations de la star academy, et que donc, je chantais "Je t'aime" de Lara F. devant un Gérard Louvain incrédule (connard). Genre, j'en ai révé le vendredi soir et l'évaluation était le lundi d'après !

Bon, allez, j'arrete là, plus que 10 minutes sur le internet. C'est fini, je suis trop en manque, je vais reprendre rendez-vous pour bientot.

Mouton :


samedi, novembre 13, 2004

Une autre âme arrive à la station...

Félicitations.

À mes petits moutons, car je deteste que l'on me dise : "dessine-moi un mouton.."


Alors, voilà le premier, le mouton fruit du deux novembre :

Moi, la dernière fois que je suis allé dans une boite gay...

...j'ai passé la nuit chez des nudistes et j'ai failli arriver en retard a mon boulot (je commencais a 17h15, ce jour là...).

Une histoire pour geyser.

Comment tout cela a-t-il commencé ? Oh, pour passer le temps un samedi soir, après le travail, je suis allé avec deux amis à moi dans LA boîte gay du coin, l'Envol.
Ambiance sympa et plusieurs conquêtes passées.

Bref, j'y suis allé et pour rigoler après une soirée de travail, cela fait parfois du bien de se lacher sur la piste de danse, là où mon charme animal fait effet, faisant possiblement même craquer fan-cyclope et toutes ces filles qui se veulent inaccessibles. Ah, ah !

Donc, je suis là, une petite bière dans le cornet. une bière québécoise, équivalent donc au double en france. Deux petites bières dans le pif.

Alors je danse, comme ça, quelle blague, mais comme partout quand on danse, on attire les regards et les regards nous attire. Sans oublier que si les gens me regarde mon instinct de prédateur reprend le dessus et je cherche très vite, consciement ou pas, la conquête de la soirée, la personne qui succombera à ma danse lascive (qui, en vérité, n'a rien d'exceptionnelle), puis à ma langue "chaude comme la braise".

Cette fois-ci, ma cible était une fille entre 25 et 28 ans, probablement bisexuelle, en attendant, plutôt hétéro (et oui).
Elle était avec un groupe d'amis, elle s'amusait bien.
Si j'ai réussi à ne lui faire aucun effet (du genre, le top bide), j'ai attiré le regard d'un de ses congénères, un mec de taille très moyenne (1m65-1m70), terriblement séduisant, quoique trop poilu pour l'un de mes suiveurs, Yannick (celui qui m'a fait rentrer là, la première fois).
Enfin, c'est yannick, aussi. Pour lui, dès qu'il y a une once de poils, cela perd tout interêt.
Bref, finalement, ce mec hallucine sur ma manière animale de danser (je ne SAIS PAS danser), et cela amène un certain rapprochement qui fait que l'on s'embale sur scène, allez, dites-moi que vous ne l'avez jamais fait.

Ensuite, c'était la fin de soirée, on a parlé (un peu), puis, on est allé chez des amis à lui.
Il venait de québec, la ville, et il était là pour la fin de semaine. Il me dit :
"-J'ai des connaissances pratiquant le naturisme. Ça te dérange?
-Heu, non, pas spécialement, à vrai dire, c'est le genre d'expériences que j'aime faire, même si je ne suis pas du tout pratiquant."

Donc, on est allé chez les naturistes, un couple gay, dont l'un était coiffeur (cliché, mais vrai), inaugurer la piscine.
Avril ou mai, je ne sait plus trop. Il faisait plutôt froid, c'était 02h00 du mat', l'eau était gelée, mais un délire collectif comme ça, cela ne se loupe pas.
Après avoir un peu discuté, bu de la bière encore à foison, on est allé au lit.
Se choucher, mais pas dormir.

Comme il est facile d'imaginer, nous avons passé la nuit à découvrir nos corps et les possibilités qui s'ouvraient à nous.
J'ai surtout bien compris que je detestais les fellations, dans un sens comme dans l'autre (ce qui explique ma réaction face au type de manosque en octobre dernier).

Le lendemain, nous avons pris un fastueux petit déjeuné avec nos amis nudistes, dont l'un avait un slip bizarre avec bon, le devant bien dans une poche, mais les fesses à l'air, malgré les elastiques sur le contour du derrière.
Un peu comme ça, mais avec un type plutôt barraqué dedans :

Un peu comme ça, mais blanc :


Puis, nous avons pris une douche et avons repassé du temps ensemble.

La suite, on la connait, j'ai perdu la notion du temps, et ce n'est que vers 16h30 que je me suis souvenu que je travaillais au Harvey's vers 17h15.
Alors, l'on m'a vite ramné chez moi, puis, j'ai passé un coup de fil pour prévenir un possible retard.
C'était Hélène, la fille qui m'a fait rêver presque au point de me garder au québec (pas Lessard, par contre, une autre). Ça me faisait bizarre de parler à elle, directement après avoir passé la nuit avec un autre, un peu comme si je l'avais trompée, alors que jamais nous n'étions sorti ensemble.

Bref, je me suis dépéché, je suis arrivé à l'heure et je n'étais même pas fatigué.

La morale étant que faire l'amour, bien faire l'amour, n'épuise pas, mais au contraire revigore.