samedi, octobre 09, 2004

L'effet papillon

C'est un film qui sort en DVD, mais c'est aussi un rêve que j'ai fait.

J'étais Andy Kauffman, ook? Dans les annes 60 et tout.
Et je devais aller dans un cinoche pour empecher un type à la tunique violette et qui ressemblait a Kevin Spacey de tuer un autre type.

Alors, je rentre dans la salle, après avoir emprunté une tunique violette, et je me pose avec kevin Spacey (ah, oui, il était chauve) et puis, bon, j'essaye de l'empecher de faire son truc et puis je me retrouve a faire une blague à la kauffman (sous entendu : drole mais affreusement pas drole, un sacré bide) à la fin de la séance.
Les gens partent, je me fais huer, mais je dis : "ah,ah, vous allez voir, dans 30 ans, il y aura des films sur moi ! et on rediffusera la série TAXI ! Vous serez ridicules !) et là, je me dédouble et je me vois sortir en trombe de la salle de cinéma, tout en y restant.

Le pire n'est pas encore arrivé ! Je voyage dans le temps quelques minutes avant le début de la scéance, pour re-empecher kevin Spacey de faire le con, mais aussi pour m'empecher de faire ma sale blague !

Alors, je vois les gens étonnés de me voir là (ben oui, je suis dans leur passé), et je me dis, bon, je vais m'attendre à la sortie du cinoche. Je sors, et je croise encore Kevin Spacey, qui lui rentrait dans la salle. Je me dis : "là, je ne dois pas le louper." Et je le suis.
Sur le court chemin (un escalier avec le comptoir et un large couloir de forme carrée), je croise une fille en tunique violette qui sort de la salle a son tour. Bon, cette fille, c'et Liv Tyler.

Je lui demande si je peux lui emprunter sa tunique et là, mon rêve a pris une tournure vraiment cochonne !

Donc, là, lutain, voilà-t-y pas qu'elle se met a me sucer en me mettant une crême sur l'engin !
Ce n'est pas tout ! lle me parlait de karma et d'energie et de cosmologie et de positions a prendre pour découvrir le plaisir sensuel et tout. Bon, au bout d'un moment, la contorsion, ça la faisait chier, elle me dit : "allez, on passe à la pénétration".

Moi, je demande : "ook, tu veux que je mette une capote ?" (faites TOUJOURS ça, les jeunes, la réponse devrait etre majoritairement favorable et c'est bien. Surtout quand la fille
vous est inconnue). Bon, elle, elle m'a regardé bizzarrement, mais on était dans les années 60, non seulement c'était peu utilisé, mais c'était aussi rare.
Bon, alors crac crac, elle me dit : "tiens jai l'impression qu'elle est plus grande" (ou je ne sais trop quoi, enfin, la manière dont elle l'a dit montrait qu'elle avait du mal a tout prendre) et puis aussi que j'étais bon et tout, enfin, c'était un rêve, quoi.

Et c'est là que je me suis révéillé.

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